Cher enfant,
.. après l’avoir stoppé sur les pentes du mal,
Je languis de l’étreindre et de le baiser,
lui si ingrat pour mon Amour pour le rendre amoureux
de ma Beauté, de ma Vérité et de mon éternelle Bonté.
Mon enfant, ce neuvième excès de mon Amour
n’est autre qu’une agonie continuelle
qui a débuté à l’instant où ma Divinité
a pris la forme humaine dans le Sein maternel,
cachant ainsi son Essence divine.
Si Je n’avais pas ainsi caché ma Divinité, J’aurais provoqué
a peur plutôt que l’amour chez les créatures,
qui n’auraient alors pas voulu s’abandonner à mon Amour.
Quelle souffrance ce fut pour Moi d’attendre là pendant neuf mois!