Ma fille, mon fils,
dès que l’âme est décidée à vivre dans mon Vouloir,
ma très Sainte Humanité prend place en elle.
Mon Sang pleut sur elle telle une pluie diluvienne,
Mes Peines, l’entourent, la fortifie, tel un mur inexpugnable,
l’embellissent merveilleusement,
de façon à ravir en elle cette Volonté Divine.
Et ma propre Mort forme la résurrection permanente
de l’âme qui vit en Elle.
Du coup, la créature se sent continuellement régénérée
dans mon Sang, dans mes Peines et dans mon Amour,
jusque dans mon Souffle, dans lesquels elle trouve
la grâce nécessaire pour vivre de ma Volonté Divine.