Ma fille, mon fils,
ne te décourage pas.
C’est ma façon habituelle d’agir:
amener l’âme à la perfection petit à petit et non pas d’un seul coup,
de manière à ce qu’elle ait toujours conscience
qu’il lui manque quelque chose et qu’elle ait à faire
tous les efforts nécessaires pour obtenir ce qui lui manque.
Ainsi, elle me plaît davantage. Et elle se sanctifie encore plus.
Et Moi, attiré par ses actes, Je me sens obligé
de lui accorder de nouvelles faveurs célestes.
De plus, un échange totalement divin s’établit entre l’âme et Moi.