Ma fille, mon fils,
ma Volonté est l’opium de l’âme. Mais mon opium à Moi,
c’est l’âme abandonnée en ma Volonté.
Cet opium provenant de l’âme empêche
-les épines de me piquer, les clous de me transpercer,
-les blessures de me faire souffrir.
Il soulage tout en Moi, il endort tout…..
Souvent, la complaisance, l’estime de soi, l’ego
et tout ce qui est humain alourdissent l’air de l’âme.
Et Je suis forcé d’envoyer les vents de la froideur,
de la tentation, de l’aridité, de la calomnie, pour qu’ils
nettoient l’air, purifient l’âme et la replacent dans son néant.
Ce néant ouvre la porte au Tout, à Dieu,
qui fait naître des brises parfumées….