Cher fils, chère fille,
Que dire des prodiges d’amour dans lesquels
nous sommes voilés et cachés en l’homme ?
Nous nous voilons
-dans son souffle, -dans son battement de cœur, -dans son mouvement,
-dans sa mémoire, son intellect et sa volonté.
Nous nous voilons
-dans sa pupille, -dans sa parole, -dans son amour.
Quelle souffrance de ne pas être reconnus ni aimés !
Reconnais en toi que tu n’es rien d’autre
qu’un voile qui cache ton Créateur
afin
-de pouvoir recevoir et
-que nous puissions t’administrer
notre Vie divine dans tous tes actes.