Ma fille, mon fils,
le véritable amour s’oublie lui-même. Il vit
-des intérêts, -des souffrances et -de tout
ce qui appartient au Bien-Aimé.»
C’est précisément là le sacrifice du véritable amour:
Alors qu’on est avec soi-même,
on doit vivre de tout ce qui appartient au Bien-Aimé.
Plus encore,
si son moi reviens à la surface,
on doit s’ingénier à faire de cela une nouvelle occasion
de se consumer pour l’objet aimé.
Celui qui s’oublie complètement trouve tout. ..
On oublie la nature et on trouve la grâce.
On oublie le monde et on trouve le Ciel….