Cher fils, chère fille,
La petite maison de Nazareth était un paradis :
pour ta Maman, pour le cher et charmant petit Jésus,
de même que pour saint Joseph.
La lumière, l’amour et tout ce que possède la Divine Volonté
qui émanaient de nous deux, étaient tels que
saint Joseph en était submergé et transformé.
Mon cher Fils lui-même était heureux
de m’obéir et d’obéir à saint Joseph,
même pour les tâches les plus simples.
Comme c’était magnifique de le voir aider
son père putatif dans son travail d’artisan !
Que d’océans de grâces il faisait couler à travers
tous ses actes, pour le bénéfice de ses créatures !