«Ma fille, mon fils,
ce sont là les chemins de Dieu: mourir et ressusciter sans cesse.
La nature elle-même est sujette à ces morts et ces résurrections.
Ainsi, la fleur naît puis meurt, mais pour ressusciter plus belle.
Si elle ne mourait jamais, elle vieillirait.
Elle perdrait la vivacité de ses couleurs, l’arôme de son parfum.
(…) aussi dans l’ordre spirituel,
l’âme doit vivre ces morts et ces résurrections.
Je me cache. Et tout semble mourir pour elle.
Je lui porte des coups en vrai maître afin que tout meure pour elle.
Et quand Je vois que tout est mort pour elle, comme le soleil, J’apparais. (…)