Cher fils, chère fille,
dans quel état lamentable les créatures m’ont mis!
Je suis comme un père très riche qui aime profondément ses enfants.
Je veux donner, mais il n’y a personne pour recevoir.
Sais-tu qui sèche mes larmes et change ma peine en joie?
C’est celui
-qui veut toujours rester avec moi,
-qui reçoit mes richesses avec amour et confiance filiale,
-qui mange à ma table et
-s’habille de mes propres vêtements.
À celui-là je donne sans mesure.
Il est mon confident et je le laisse reposer sur ma poitrine.