Cher fils, chère fille,
ce n’est pas par les œuvres que vient le mérite de l’homme,
mais uniquement par l’obéissance à la Divine Volonté.
Tout ce que j’ai fait et tout ce que j’ai souffert au cours de ma vie
se réalisa par obéissance à la Volonté du Père.
Mes mérites sont incommensurables,
parce qu’ils furent tous obtenus à travers l’obéissance divine.
Je ne regarde pas tant la multiplicité et la grandeur des œuvres.
Je regarde plutôt leur rapport avec l’obéissance à Dieu,
-soit directement, soit indirectement
à travers l’obéissance à la personne qui me représente. »