Cher fils, chère fille,
pour celui qui veut atteindre la fin, il est nécessaire
–de toujours courir et
–de ne jamais s’arrêter.
Courir rend le trajet plus facile.
Plus on court, plus on s’approche rapidement de l’objectif poursuivi.
De plus,
-aidé par la grâce,
-on ne sent pas la lassitude de la route.
C’est tout l’opposé pour celui qui ne court pas.
En ralentissant sa marche,
-il sent la fatigue et il perd sa force pour continuer. ..
De plus, il perd la grâce…
Sa vie devient insupportable.
parce que l’oisiveté produit l’inertie. »