Cher fils , chère fille,
*au Jardin des Oliviers j’ai crié au Père:
«Si c’est possible que ce calice s’éloigne de moi!»
Mais crois-tu que c’est moi qui criais?
Ah! non! tu te trompes si tu penses cela.
«C’était le cri de toute la famille humaine
qui se répercutait sur mon Humanité.
*Et sais-tu pourquoi j’ai dit jusqu’à trois fois:
“Que non pas ma Volonté mais la tienne soit faite“?
Je portais en moi les volontés de toutes les créatures, tous leurs péchés
Au nom de toutes, j’ai crié vers mon Père:
“Que la volonté humaine ne se fasse plus sur la terre, mais la Volonté Divine.
Que la volonté humaine soit bannie et que la tienne règne.”.
LDC 14 – 28 juillet 1922 – LDC 16 – 4 janvier 1924
heure 06 : LDC-2 Textes – extraits – audio