Cher fils, chère fille,
le dernier acte de ma vie a été
-de m’étendre sur la croix et
-de rester là jusqu’à ma mort, les bras ouverts,
sans pouvoir bouger
ou m’opposer à tout ce qu’on voulait me faire.
J’étais l’image de celui qui vit,
-non avec sa volonté humaine,
mais avec la Volonté Divine.
Mon Humanité est au Ciel et
elle n’est pas sujette à la souffrance.
Elle continue de chercher des âmes
agissant uniquement dans la Divine Volonté.
Celles-ci ne refusent rien à Dieu et
sont disposées à perdre tous leurs droits
au profit de ceux de ma Volonté.