Cher fils, chère fille,
sache qu’en ces trois heures d’Agonie si terribles dans le Jardin,
-j’ai renfermé en Moi la vie de toutes les créatures et
-j’ai souffert toutes leurs peines et leur propres morts,
donnant à chacune ma Vie.
Mes Agonies soutiendront la leur.
Mes amertumes et ma mort se changeront pour elles en douceur et en vie.
Combien me coûtent les âmes!
Si seulement elles me rendaient quelque chose en retour!
Alors que je mourais, je recommençais à respirer.
C’étaient les morts des créatures que je ressentais en Moi.»