Chère fille, cher fils,
“je cherche des âmes qui me ressemblent
-par leurs souffrances et par leurs œuvres,
-pour les faire participer à la grande gloire
et au bonheur que porte mon Humanité.
Je cherche des âmes
– avec lesquelles je puisse devenir intimes et
– chez lesquelles je puisse créer la souffrance d’être privées de ma Présence.
Si je n’avais pas été presque toujours avec toi,
– tu ne m’aurais ni connu ni aimé et, par la suite,
– tu n’aurais pas pu expérimenter la peine de cette désolation
puisque cela t’aurait été impossible.
Ta souffrance devrait te consoler parce qu’elle est un signe certain
-que je suis venu à toi, -que tu me connais et -que ton Jésus veut t’accorder
la gloire, les bienfaits et le bonheur que les autres rejettent.”