Mon fils, ma fille,
Il y avait partage continuel entre Dieu et elle.
Tout ce qui émanait d’elle rejoignait son Créateur.
Elle était rejointe par Lui en retour.
Ces échanges augmentaient sa grandeur, l’élevaient
et lui permettaient de tout dominer.
Pourtant, personne ne remarquait rien d’inhabituel chez elle.
Seul Moi, son Dieu, son Fils, Je savais tout.
Il y avait un si fort courant entre ma Mère et Moi
que son Cœur et le Mien battaient à l’unisson.
Elle vivait de mes battements de Cœur éternels,
– et Moi, de ses battements de Cœur maternels.
C’est précisément cela qui, à mes Yeux,
la distinguait comme étant ma Mère.
Les actions extérieures ne Me satisfont ni ne Me plaisent
si elles n’émanent pas d’un intérieur dont Je suis la Vie.(…)
“Entre Dieu et ma Mère il y avait un échange continuel”- LDC14