“Ma fille, mon fils,
(…) veux-tu savoir comment ma Mère pu avoir la Force de Me laisser?
Son secret résidait dans le fait que ma Volonté régnait en Elle.
Vivant d’une Volonté Divine,
Elle possédait, ainsi, une Force incommensurable.
Il faut que tu saches que,
quand ma Mère, le cœur transpercé, Me laissa dans le sépulcre,
ma Volonté la tenait immergée en deux mers immenses:
– une mer de douleur et,
– l’autre plus étendue, de joies, de béatitudes. (…)
Sa joie fut telle, qu’Elle eut la force de se séparer de mon corps.
Elle se retirait et attendant l’accomplissement de ma Résurrection
– qui représentait celui de la Rédemption.
La Joie la soutenait dans la douleur, et la douleur dans la Joie. (…)