Ma fille, mon fils,
le Règne de ma Divine Volonté
– ne pouvait pas venir sur terre avant ma Venue.
Parce qu’il n’y avait pas d’humanité qui possédât,
– autant que cela soit possible pour une créature,
la plénitude de mon divin Fiat. (…)
Le Ciel était fermé.
Les deux volontés, l’humaine et la divine,
– semblaient se regarder d’un air renfrogné. (…)
Avec ma venue sur terre, le Verbe divin
– s’est revêtu de chair humaine.
Par cela, Il forma le greffon avec l’arbre de l’humanité.
Mon Humanité se prêta à servir de germe au Verbe éternel. (…)
Maintenant Dieu peut Le donner. (…)