Cher fils, chère fille,
Alors que l’âme semble avoir triomphé de tout et
– abonder en ferveur, en grâces, en union avec Moi, en vertus,
et qu’elle semble avoir acquis de nouvelles vies sur tous les points,
Je me cache et tout semble mourir pour elle.
Je lui porte des coups en vrai maître afin que tout meure pour elle.
Et quand Je vois que tout est mort pour elle,
comme le soleil, J’apparais.
Et, avec Moi, tout ressuscite et tout devient plus beau,
plus vigoureux, plus fidèle, plus reconnaissant, plus humble. (…)