Ma fille, mon fils,
dès le début, lorsque Je t’ai appelée à l’état de victime et
à tout ce que tu souffrais durant ce temps,
Je commençais par te demander si tu accepterais.
Lorsque tu avais accepté Je te plaçais dans un état de souffrance.
Je voulais de toi une souffrance volontaire et non forcée,
parce que c’était ta volonté que Je voulais faire mourir. Par-dessus
ta volonté, un peu comme une petite flamme qui est éteinte,
Je voulais allumer le grand Feu du Soleil de mon Fiat.
La souffrance volontaire est quelque chose de grand
devant notre suprême Majesté.