«Ma fille, mon fils,
quand l’âme se donne complètement à Moi,
– J’établis ma Demeure en elle.
Souvent, J’aime tout fermer et demeurer dans l’ombre.
D’autres fois, J’aime dormir et Je place l’âme comme sentinelle
– afin qu’elle ne permette à personne de venir Me déranger.
Et, si nécessaire, elle doit s’occuper des intrus
et leur répondre pour Moi.
Parfois encore, J’aime tout ouvrir et laisser entrer
– les vents, la froideur des créatures,
– les dards du péché et beaucoup d’autres choses.
L’âme doit être contente de tout et Me laisser faire
tout ce que Je veux. Elle doit faire siennes mes Choses. (…)
Quand elle fait le Bien, c’est comme si ce Bien sortait de Moi.
Et, venant de Moi, Il est comme un rayon de Lumière
qui profite à toutes les créatures.”
“J’établis ma Demeure en elle” – LDC 11– 2 mars 1916