Ma fille, mon fils,
Ne sais-tu pas que la chose que l’infernal serpent connaît
le moins à mon sujet, c’est ma Volonté?
En fait, il n’a pas voulu l’accomplir .
Et, de ce fait, il ne l’a ni connue ni aimée.
Ce qu’il abhorre le plus est que la créature fasse ma Volonté.
Peu lui importe que l’âme
– prie, aille à confesse, reçoive la communion,
– fasse pénitence ou fasse des miracles.
Par sa rébellion contre ma Volonté, l’enfer fut créé en lui,
– d’où son état malheureux et la rage qui le consume.
Ainsi, ma Volonté est pour lui l’enfer
Et, chaque fois qu’il voit une âme soumise à ma Volonté,
– en connaître les qualités, la valeur et la sainteté,
il sent son enfer redoubler. (…)