Ma fille, mon fils,
Ô combien la Volonté Divine désire donner sa Vie à la créature
pour qu’elle puisse en vivre. (…)
Notre Être suprême aimait l’homme. Le voir sans chef nous faisait souffrir.
C’était le plus grand déshonneur de notre Œuvre créatrice.
Nous ne pouvions tolérer un tourment si grand chez celui
que Nous aimions tant.
Notre Divine Volonté Nous dominait.
Notre Amour conquérant M’a fait descendre du ciel sur la terre pour
– Me constituer le Chef de l’homme et
– réunir tous les membres dispersés sous le Chef.(…)
Combien cela M’a coûté ! Mais mon Amour M’a permis de tout surmonter,
– de faire face à toutes les souffrances et de triompher de tout.