Ma fille, mon fils,
la valeur des actes de ma céleste Mère était telle
parce qu’ils sortaient du sein immense de ma Divine Volonté,
par où elle possédait son Royaume, sa Vie.
Il n’y avait pas en elle de mouvement, d’acte, de respiration ou
de battement de cœur qui ne fût rempli du Vouloir suprême
au point d’en déborder.
Les tendres baisers qu’elle Me donnait sortaient de cette Fontaine.
Les chastes étreintes avec lesquelles elle embrassait mon Humanité
infantile contenaient l’Immensité de mon Vouloir Suprême.(…)