Ma fille, mon fils,
les souffrances sont comme le fer battu par le marteau qui
– en fait jaillir des étincelles de lumière et
– le chauffe au point qu’il se transmue en feu.
Sous les coups qu’il reçoit, le fer perd sa dureté et se ramollit
de telle sorte que l’on peut lui donner la forme désirée.
Telle est l’âme sous les coups de la souffrance :
– elle perd sa dureté,
– elle lance des étincelles de lumière,
– elle se transforme en mon Amour et elle devient le feu.
Chaque coup est une étincelle que l’âme fait sortir d’elle-même.
Je me sers de ces étincelles (…)
Elles lui administrent la nourriture de la Vie divine (…)