Chère fille, cher fils,
(…) Pour faire ce cadeau à une créature, Je m’assure en premier
– qu’elle désire vraiment faire ma Volonté et non la sienne,
– qu’elle est prête à tout sacrifier pour atteindre ce but et
– que, à chaque action qu’elle fait, elle réclame le Cadeau
de ma Volonté, même sous la forme d’un prêt.
Quand Je vois qu’elle a pris l’habitude de tout faire avec le prêt
de ma Volonté, Je La lui donne .
Parce que, en La demandant sans cesse, elle a formé en elle
le vide où Je peux déposer le Cadeau céleste. (…)
Se voyant en possession de ce Cadeau qu’elle a tant désiré,
elle en vit et Lui donne tout son amour.