Mon enfant,
Je suis la Lumière éternelle. …Quelle souffrance J’y ai endurée!
…Sais-tu ce
-qui m’a amené à cette prison,
-qui m’a enlevé ma Lumière et m’a fait lutter pour ma respiration?
C’est l’Amour que Je ressens pour les créatures confronté à la noirceur
de leurs péchés. Chacun de leurs péchés est une nuit pour Moi.
Je suffoque de ressentir leurs cœurs sans repentir et ingrats.
Ils produisent un abîme sans fond d’obscurité qui Me paralyse.
Ô excès de mon Amour, tu m’as fait partir d’une plénitude de Lumière
– pour m’amener à la plus noire des nuits dans un étroit réduit
qui annihile la liberté de mon Cœur.»