Ma fille, mon fils,
l’âme vidée d’elle-même est comme de l’eau
-qui coule continuellement et
-qui s’arrête seulement quand elle est retournée
au lieu d’ où elle est venue….
Seulement l’âme vidée de tout, sauf de Dieu,
comprend les choses en accord avec la divine Vérité,
par exemple :
– la valeur de la souffrance,
– l’importance des vertus et
– la nécessité d’adhérer à l’Éternel.
Ou encore que, pour aimer quelque chose,
il est absolument nécessaire de détester les choses qui lui sont opposées.
Seulement l’âme qui est vidée de tout, sauf de Dieu,
peut arriver à un tel bonheur. »