Ma fille, mon fils,
La créature, si sainte qu’elle puisse être, comme ma Mère bien-aimée
qui, bien
-qu’elle possédât la plénitude et la totalité de tous les Biens de son Créateur
-que le Royaume de ma Divine Volonté régnait parfaitement en elle,
avec tout cela,
-ne pouvait pas épuiser toute l’Immensité de tous les Biens de l’Être divin.
Elle était comblée à ras bord.
Elle débordait au point de former des mers autour d’elle.
Mais quant- à restreindre en elle-même et -à embrasser
tout ce que contient l’Être suprême, cela lui était impossible.
Même mon Humanité ne pouvait en Elle-même contenir
toute l’Immensité de la Lumière Créatrice….
La grandeur de la Reine du Ciel et mon Humanité même
se trouvaient face à leur Créateur
–dans la condition où tu peux te trouver toi-même
lorsque tu t’exposes aux rayons du soleil …