Cher fils, chère fille,
Or notre Amour fut brisé par l’homme.
En se retirant de notre Divine Volonté, c’est lui-même
qui enleva le sceau de royauté et le vêtement royal.
Mais de notre côté, rien n’avait changé.
Et Nous persistions dans notre Volonté
-de faire de l’œuvre de nos mains un enfant roi, non un serviteur.
Mettant toute chose de côté comme si rien d’autre n’existait,
nous renouvelons la solennité de la création du premier homme…
C’est ce que nous avons fait avec la Reine souveraine.
Et n’ayant pas brisé notre Amour et
gardant la Vie de notre Divine Volonté,
elle détient le titre de Reine.
Oh ! combien notre Amour se réjouit de voir en elle
–la première Reine de l’œuvre de nos mains créatrices!…