Cher fils, chère fille,
Je percevais en Adam et en toute sa descendance, la grave
méchanceté de la volonté humaine. Alors moi, ta céleste Maman,
à peine conçue, j’ai pleuré amèrement sur l’homme déchu.
Par la suite, la Divine Volonté me demanda comme épreuve
de Lui céder ma volonté humaine.
Elle me dit : « Je ne te demande pas, comme à Adam, de Me
concéder un fruit. Non et non !
Ce que Je te demande, c’est ta propre volonté.
Tu la conserveras, mais tu vivras comme ne l’ayant pas,
-la plaçant sous la domination totale de ma Divine Volonté,
-Qui sera ta vie et Qui pourra disposer de toi à sa convenance.»