« Ma fille, mon fils,
la créature doit habiter dans mon Cœur.
Ses vertus doivent être enracinées dans mon Cœur
et se développer dans son propre cœur.
Autrement, elle n’aurait que des vertus naturelles et instables.
Alors que les vertus dont les racines sont dans mon Cœur
et qui se développent dans le cœur de la créature sont stables,
s’adaptent à tous les temps et à toutes les circonstances
Elles sont valables pour tous. …
L’âme qui me désire sans cesse s’imprègne de Moi sans cesse.
Et Moi, me sentant imprégné dans cette âme,
J’imprègne celle-ci en Moi, de sorte que, où que Je me tourne,
Je la trouve avec ses désirs et Je la touche continuellement.»