“Ma fille, mon fils,
Je t’ai toujours gardée assise sur mes genoux, tellement en sureté
que Je ne te permets même pas de penser à toi-même.
Tu es comme un petit enfant sur les genoux de son père:
tantôt Il le caresse, tantôt Il le baise.
Si, sans prudence, le petit enfant se souille, le père le nettoie
parce que l’enfant n’est pas conscient de sa conduite.
D’autre part, quand le petit enfant voit que son père est affligé,
il le console et sèche ses larmes.
S’il voit que son père est irrité, il le calme. …
Je fais ainsi avec toi. Je te traite comme mon petit enfant.”