Chère fille, cher fils,
L’Église connaît très peu les peines de la Céleste Souveraine,
seulement celles apparentes.
C’est pourquoi on a dénombré sept épées.
Mais si elle avait su que son Cœur maternel était le refuge,
le dépositaire de toutes les souffrances,
-puisque la lumière Lui apporta tout, ne l’épargnant d’aucune façon,
elle n’aurait jamais parlé de sept, mais de millions d’épées.
D’autant plus s’agissant de peines intimes dont
seul Dieu en connaît l’intensité.