«Ma fille, mon fils,
le dernier acte de ma Vie a été
-de m’étendre sur la croix et
-de rester là jusqu’à ma mort, les bras ouverts,
sans pouvoir bouger ou m’opposer à tout ce qu’on voulait me faire.
J’étais l’image de celui qui vit,
non avec sa volonté humaine, mais avec la Volonté Divine.
Étant incapable de bouger ou de m’opposer,
ayant perdu tout droit sur Moi-même,
Je subissais la tension horrible de mes bras.
Que de choses ils ont dites!
Pendant que J’avais perdu mes droits, on m’a pris ma Vie.
Mais le droit prépondérant a été celui de la suprême Volonté.