Ma fille, mon fils,
Moi, le Verbe éternel, Je n’aurais pu descendre en ma Mère
bien-aimée sans ses privilèges spéciaux, c’est-à-dire :
si le Souffle divin
– ne l’avait pas pénétrée comme une nouvelle création et
– ne l’avait pas rendue merveilleuse, supérieure à tous
et à toutes les choses créées.
Je désire que ma Volonté soit l’âme de l’être humain.
Un corps sans âme est sans vie. Quoiqu’il a tous les sens,
il ne voit pas, il ne parle pas, n’entend pas et n’agit pas.
Je veux être en toi comme l’âme de ton corps.
Ma Volonté y apportera de nouvelles créations surprenantes.
Laisse-Moi tout afin que mon grand projet soit réalisé en toi,
c’est-à-dire que tu sois vraiment animée par ma Volonté.»