Chère fille, cher fils,
En second lieu,
la charité qui est la plus agréable à mon Cœur
est celle qu’on fait aux âmes qui,
– m’aiment,
– font toujours ma Volonté et
– s’intéressent à mes affaires comme si mes affaires étaient les leurs.
Si de telles âmes sont
– opprimées,
– dans le besoin ou
– dans un état de souffrances
et qu’on s’occupe de les aider,
cette charité m’est plus agréable que si on fait cela aux autres. »