Cher fils, chère fille,
il semble que tu veux perturber le repos que je vis en toi.
D’où viennent ta patience, ta persévérance et ta paix?
De toi ou de celui qui vit en toi?
Seulement moi possède ces dons!
*Si c’était la nature ou le démon qui intervenait en toi,
ton âme se sentirait tyrannisée par des changements continuels.
-À un moment, elle se sentirait dominée par un amour,
-plus tard, par un autre;
-à un moment, elle se sentirait patiente et,
-au moment d’après, elle se sentirait fâchée, et ainsi de suite.
Ma fille, mon fils,
où il n’y a pas Dieu, il n’y a pas de continuité et de vraie bonté.
Ne viens donc pas déranger ton propre repos et le mien,
mais remercie avec moi.»