Cher fils, chère fille,
Unie à ma Divinité, mon Humanité aurait pu faire des prodiges
à chaque pas, en paroles et en actes.
Mais, volontairement,
-je me suis restreint aux bornes de mon Humanité,
-je me suis montré le plus pauvre,
-j’ai été jusqu’à me confondre avec les pécheurs.
]’aurais pu accomplir la Rédemption dans un temps très bref,
et même d’un seul mot.
Mais,
-pendant de longues années,
-avec tant de privations et de souffrances,
j’ai voulus faire miennes les misères de l’homme.
J’ai voulu m’adonner à de nombreuses et diverses actions
pour que l’homme puisse être renouvelé et divinisé,
même dans ses plus petits travaux.