Cher fils, chère fille,
entendre, -parler ou -écrire au sujet de ma Volonté
est la chose la plus sublime qui puisse exister sur la terre et au Ciel.
Dans ma Volonté, l’âme s’adapte à la manière divine.
Ce n’est plus par lampées que l’on boit, mais par mers.
On gravit, non pas à pas, mais avec des ailes
qui rejoignent le Ciel en un clin d’œil.
Oh! Ma Volonté, ma Volonté!
Seulement à t’entendre en parler
m’apporte tellement de joie et de douceur!
Tu dois te réaliser quelles grandes choses
je t’ai révélées concernant ma Volonté,
même si tu ne les as pas encore totalement bien mastiquées
et digérées au point d’en former tout le sang de ton âme.