Cher fils, chère fille,
Tu devrais savoir que
l’âme qui laisse ma Volonté vivre en elle,
-quand elle prie, souffre, agit, aime, etc.,
-elle produit auprès de Dieu un doux enchantement.
Ceci a pour effet
d’empêcher ma justice de déverser sur la terre les grands châtiments
que les créatures attirent par leurs graves péchés.
Penses-tu que c’est peu de choses pour le Créateur
de voir dans la créature qui vit sur la terre
-sa propre Volonté opérer, triompher et dominer
-avec la même liberté avec laquelle elle agit et domine dans le Ciel?
Quant à toi, ne quitte jamais ma Volonté,
afin que ce doux enchantement m’amène
à épargner les peuples de plus grands maux.»