Cher fils, chère fille, (Jésus dit à Luisa : )
«Ma fille, pauvre martyre,
-pas martyre de la foi, mais martyre de l’Amour.
-non pas martyre humaine, mais martyre divine!
Ton martyre le plus cruel, c’est la privation de moi,
ce qui met le sceau du martyre divin sur toi!
C’est à partir de ton intérieur que je décide du sort du monde.
Ton humanité me sert d’asile comme ma propre Humanité
servait d’asile à ma Divinité.
«Maintenant que mon Humanité est glorifiée,
j’ai besoin d’une humanité capable
–de partager mes peines et mes souffrances,
-d’aimer les âmes avec moi et –d’exposer sa vie pour les sauver.
Je te veux dans les hauteurs de ma Volonté afin que
–ce que tu ne peux pas atteindre par toi-même, tu le puisses par ma Volonté,
-et que tu puisses posséder tout ce qu’il faut pour me tenir office d’humanité.