Cher fils, chère fille,
j’ai éprouvé une peine particulière
pour chaque faute commise par les humains.
J’ai associé à chacune un pardon pour le coupable.
Ces pardons sont en suspens dans ma Volonté.
Quand un pécheur éprouve de la peine pour une faute commise,
ma peine se joint à la sienne et je lui accorde aussitôt le pardon.