Cher fils, chère fille,
les douleurs que j’ai souffertes
pendant mon couronnement d’épines
sont incompréhensibles pour un esprit créé.
Beaucoup plus douloureusement
que par les épines sur ma tête,
mon esprit fut transpercé par
toutes les mauvaises pensées des créatures.
Aucune ne m’échappait.
Je les sentais toutes en dedans de moi.
Non seulement je sentais les épines, mais aussi
le dégoût du péché que ces épines suscitaient en moi.»
Mon fils, ma fille, seulement les âmes
qui vivent dans ma Volonté peuvent
-me faire de vraies réparations et
-me soulager d’épines aussi aiguës.