Cher fils, chère fille,
Je pleurai sur la nudité de l’homme et
j’offris ma nudité au Père Céleste
pour que l’homme puisse être vêtu de nouveau
avec le vêtement royal de ma Volonté.
je me laissai déshabiller
-non seulement de mes vêtements,
-mais aussi de ma peau.
Je versai tellement de sang dans ce mystère
– dans aucun autre j’en ai versé autant
assez pour couvrir l’homme d’un second vêtement,
un vêtement de sang,
– pour le réchauffer, le nettoyer et
– pour le disposer à recevoir le vêtement royal de ma Volonté.»
LDC16 – 14 janvier 1924
Heure 16 : complet – extrait – audio