Cher fils, chère fille,
Ma Divinité voulait une vie
-pour chaque vie de créature et
-pour chaque mort causée en elles
par une faute mortelle.
Les souffrances infligées par ma Divinité
furent multipliées pour couvrir toutes les offenses :
autant d’épines que de mauvaises pensées,
autant de clous que d’actions indignes,
autant de coups que de plaisirs mauvais,
autant de souffrances que d’offenses.
Devant cette Passion que m’a infligée ma Divinité
durant tout le cours de ma vie,
la Passion que les créatures m’ont fait subir
dans les derniers jours de ma vie
ne fut qu’une ombre, qu’une image.
LDC 12 – 5 févr.1919
La Passion intérieure de Jésus-1 : complet – extrait