«Mon fils, ma fille,
tu es mon contentement.
J’aime
-que l’âme s’oublie ainsi que ses misères et
-qu’elle s’occupe uniquement de moi,
de mes afflictions,
de mes amertumes,
de mon amour
-qu’elle m’entoure en toute confiance.
Cette confiance
-ravit mon Cœur et
-m’inonde d’une telle joie …
J’en arrive
-non seulement à lui donner ce qu’elle veut,
-mais à la faire prendre ce qu’elle veut.»