Cher fils, cher fille,
combien je me sens plus heureux d’opérer, de prier, de bénir l’âme
en qui règne ma Divine Volonté !
-Je trouve en elle ma vie, la lumière, la compagnie
-Je ne suis pas seul si je prie et travaille,
-mais j’y trouve de la compagnie et quelqu’un qui travaille avec moi.
D’autre part, dans cette prison sacramentelle,
-les accidents de l’hostie sont muets, -ils ne me disent pas un mot,
-je fais tout seul, sans trouver un seul soupir qui s’unirait au mien,
pas un battement de cœur qui m’aimerait.