Chère fille, cher fils,
Je dirais à celui qui douterait de mon Amour
et craindrait d’être damné:
“Qu’est-ce à dire?
Je te donne ma Chair à manger.
Tu vis de tout ce qui m’appartient.
Si tu es malade, Je te guéris avec les sacrements.
Si tu es sale, Je te lave avec mon Sang.
Je suis toujours à ta disposition et tu doutes?
Veux-tu m’attrister?
Et puis, dis-Moi, aimerais-tu quelqu’un d’autre?
En reconnais-tu un autre comme père?
Pourquoi t’affliges-tu et m’attristes-tu?…
Veux-tu, toi aussi, mettre le chagrin dans mon Cœur?»