Luisa écrit :
…Alors, à travers ma misère, la pensée me vint de Lui offrir,
– comme myrrhe, mon corps avec toutes les souffrances des douze années pendant lesquelles j’avais été alitée, prête à souffrir et à continuer aussi longtemps qu’Il le désirerait.
– Comme or, je lui offris les douleurs que je ressens quand Il me prive de sa Présence, ce qui est pour moi la chose la plus souffrante et la plus douloureuse.
– Comme encens, je lui offris mes pauvres prières en les unissant à celles de la Reine Maman, afin qu’elles soient plus acceptables pour Jésus bébé.
J’ai fait mon offrande dans la confiance totale que l’Enfant allait l’accepter.
Cependant, il me sembla que
– même si Jésus acceptait ma pauvre offrande avec grand plaisir,
– ce qu’Il aimait le plus était la confiance avec laquelle je l’offrais.
Quand l’âme a confiance, elle est sûre d’obtenir ce qu’elle demande:…
l’ Epiphanie -la confiance-LDC3